samedi 10 novembre 2012

Défense du mariage

Lois bibliques et absolues sur le mariage

Principe universel et inéquivoque du mariage :


GE 2:24


'est pourquoi l'homme quittera son père et sa mère, et s'attachera

à sa femme, et ils deviendront une seule chair.


MT 19:5


qu'il dit: C'est pourquoi l'homme quittera son père et sa mère, et

s'attachera à sa femme, et les deux deviendront une seule chair.


MT 19:6


ils ne sont plus deux, mais ils sont une seule chair. Que l'homme

donc ne sépare pas ce que Dieu a joint.


MR 10:8


les deux deviendront une seule chair. Ainsi ils ne sont plus

deux, mais ils sont une seule chair.


1CO 6:16


de là! Ne savez-vous pas que celui qui s'attache à la prostituée

est un seul corps avec elle? Car, est-il dit, les deux deviendront une seule

chair.


EPH 5:31


'est pourquoi l'homme quittera son père et sa mère, et

s'attachera à sa femme, et les deux deviendront une seule chair.

Définition de l’homme et de la femme l’un envers l’autre, par rapport à

des passages bibliques :

L'Éternel Dieu dit: Il n'est pas bon que l'homme soit seul; je lui ferai une

opposée à lui (Gen 2 : 8) . Opposée pas contraire !

Le roi m'introduit dans ses appartements (=je suis pénétrée, dit la femme)

C'est la voix de mon bien-aimé! Le voici, il vient, sautant sur les

montagnes, bondissant sur les collines. (= je suis sautée par mon homme,

dit la femme, les collines ici figurant ses seins de femme)

Il regarde par la fenêtre, il regarde par le treillis. (= il regarde ma vulve,

dit la femme, « fenêtre » et « treillis » représente l’un et l’autre les

organes sexuels féminins)

Chacun porte l'épée sur sa hanche, en vue des alarmes nocturnes. (= il

bande, dit la femme, « épée » est ici une métaphore de la verge en

érection, et « alarmes nocturnes » veut dire : avoir envie de baiser…)

Tes lèvres sont comme un fil cramoisi (= les lèvres ici sont celles de la

vulve bien sûr !)

Tes deux seins sont comme deux faons, comme les jumeaux d'une

gazelle, qui paissent au milieu des lis. (= tes seins m’excitent, dit

l’homme à la femme)

Tes lèvres distillent le miel, ma fiancée; il y a sous ta langue du miel et

du lait (= comme je suis en train de te lécher la chatte, pense l’homme -

car il ne peut ainsi faisant parler- tu as, ma femme, un goût de plaisir !

« Langue » ici est l’intérieur de son vagin)

Tu es un jardin fermé, ma soeur, ma fiancée, une source fermée, une

fontaine scellée. Tes jets forment un jardin, où sont des grenadiers, avec

les fruits les plus excellents, les troënes avec le nard; le nard et le safran,

le roseau aromatique et le cinnamome, (= « jardin fermé », « source

fermée », « fontaine scellée » évoquent tous les trois la vulve et le vagin.

« jets », ainsi que « source » et « fontaine » indiquent qu’elle mouille de

plaisir. Les parfums évoqués cherchent à figurer l’odeur des organes

sexuels féminins de la femme qui jouit !!)

Avec tous les arbres qui donnent l'encens; la myrrhe et l'aloès, avec tous

les principaux aromates;

Une fontaine des jardins, une source d'eaux vives, des ruisseaux du

Liban. (= Complétude des odeurs précédentes, et continuité : le plaisir de

la femme est si intense qu’elle devient comme une « fontaine »)

Que mon bien-aimé entre dans son jardin, et qu'il mange de ses fruits

excellents! -

J'entre dans mon jardin, ma soeur, ma fiancée; (= Pénètre-moi, dis la

femme. L’homme la pénètre)

Mon bien-aimé a passé la main par la fenêtre, et mes entrailles se sont

émues pour lui. (= Il m’a pénétrée, et j’ai commencé à jouir, dit la

femme)

Je me suis levée pour ouvrir à mon bien-aimé; et de mes mains a

dégoutté la myrrhe, de mes doigts, la myrrhe répandue sur la poignée du

verrou. (= J’ai écarté mes cuisses, dit la femme, et après qu’il ait éjaculé

dans mon vagin, j’ai eu de son sperme sur les mains. cqfd)

Je ne sais, mais mon désir m'a rendue semblable aux chars de mon noble

peuple. (= orgasme)

Ton sein est une coupe arrondie (= ton vagin)

Tes deux seins sont comme deux faons, comme les jumeaux d'une gazelle

(= tes seins me plaisent)

Que tu es belle, que tu es agréable, ô mon amour, au milieu des délices!

Ta taille ressemble au palmier, et tes seins à des grappes. Je me dis: Je

monterai sur le palmier, j'en saisirai les rameaux! Que tes seins soient

comme les grappes de la vigne, ( = j’adore faire l’amour avec toi)

et ta bouche comme un vin excellent,... (= j’aime tes baisers)

Et mes seins sont comme des tours; j'ai été à ses yeux comme celle qui

trouve la paix (= sensation de bien-être après avoir fait l’amour)

'il me baise des baisers de sa bouche! Car ton amour vaut mieux que le

vin, (= la femme apprécie que l’homme l’embrasse et même la baise)

lèvres sont comme un fil cramoisi, et ta bouche est charmante; ta joue est

comme une moitié de grenade, Derrière ton voile. (= l’homme aime

embrasser et baiser sa femme!)

Et ta bouche comme un vin excellent,... -qui coule aisément pour mon

bien-aimé, Et glisse sur les lèvres de ceux qui s'endorment (= l’homme et

la femme aiment s’embrasser l’un l’autre et faire l’amour ensemble l’un

avec l’autre)

Passages du Cantique sur l’amour :

ton AMOUR vaut mieux que le vin, (= mieux vaut l’amour que l’ivresse)

Nous célébrerons ton AMOUR plus que le vin. C'est avec raison que l'on

t'aime. (= mieux vau l’amour que le plaisir des sens)

la bannière qu'il déploie sur moi, c'est l'AMOUR (= l’amour aide à l’acte

sexuel)

je suis malade d'AMOUR. (= je t’aime vraiment)

Filles [de Jérusalem], par les gazelles et les biches des champs, ne

réveillez pas, ne réveillez pas l'AMOUR, avant qu'elle le veuille. -(=

l’amour vaut mieux que le sommeil)

Filles [de Jérusalem,] par les gazelles et les biches des champs, ne

réveillez pas, ne réveillez pas l'AMOUR, avant qu'elle le veuille. -(=

l’amour vaut mieux que l’éveil)

Au milieu est une broderie, oeuvre d'AMOUR des filles [de Jérusalem.]

(= l’amour est action)

Que de charmes dans ton AMOUR, ma soeur, ma fiancée! Comme ton

AMOUR vaut mieux que le vin, (= la femme qui aime mérite de vivre)

-Mangez, amis [amoureux], buvez, enivrez-vous d'AMOUR! - (= vive

l’amour)

je suis malade d'AMOUR (= tu es aimé/e)

Que tu es belle, que tu es agréable, ô mon AMOUR, au milieu des

délices! (= vive la sexualité avec de l’amour!)

Dès le matin nous irons aux vignes, nous verrons si la vigne pousse, si la

fleur s'ouvre, si les grenadiers fleurissent. Là je te donnerai mon

AMOUR. (= l’amour est don)

filles de [Jérusalem], ne réveillez pas, ne réveillez pas l'AMOUR, avant

qu'elle le veuille. -(= l’amour a son heure)

Mets-moi comme un sceau sur ton coeur, comme un sceau sur ton bras;

car l'AMOUR est fort comme la mort, la jalousie est inflexible comme le

séjour des morts; ses ardeurs sont des ardeurs de feu, une flamme de

l'Éternel. (= l’amour est très puissant car « Dieu est amour ».Amen)

Les grandes eaux ne peuvent éteindre l'AMOUR, et les fleuves ne le

submergeraient pas; quand un homme offrirait tous les biens de sa

maison contre l'AMOUR, il ne s'attirerait que le mépris. (l’amour est

éternel. Amen)

En un mot : l’amour sublime la sexualité entre, exclusivement, un homme

et une femme

Autres lois divines sur le mariage :

Que le mariage soit honoré de tous, et le lit conjugal exempt de souillure,

car Dieu jugera les impudiques et les adultères.

Lorsqu'un homme sera nouvellement marié, il n'ira point à l'armée, et on

ne lui imposera aucune charge; il sera exempté par raison de famille

pendant un an, et il réjouira la femme qu'il a prise

Rappel : Si un homme rencontre une jeune fille vierge non fiancée, lui

fait violence et couche avec elle, et qu'on vienne à les surprendre,

l'homme qui aura couché avec elle donnera au père de la jeune fille

cinquante sicles d'argent; et, parce qu'il l'a déshonorée, il la prendra pour

femme, et il ne pourra pas la renvoyer, tant qu'il vivra

Nous savons qu’un homme et une femme mariés doivent avoir des

relations sexuelles ensemble afin que leur mariage ait un sens minimum.

A eux de trouver le temps de faire l’amour.

Complémentarité des organes sexuels.

1) la verge ou pénis

Le pénis humain se constitue de trois couches de

tissu :

·

les deux corps caverneux (corpora cavernosa penis), et

·

le corps spongieux (corpus spongiosum penis) sous eux.

Le bout distal du corps spongieux élargi et côniforme constitue le

gland

du pénis


(glans penis). Le gland est entouré par le prépuce (preputium),

un pli de

peau qui peut se retirer pour découvrir le gland. Le prépuce

s’attache au-dessous du gland par une bande de peau, le

frein. La portion

intérieure du prépuce inclut une zone hautement innervée, récemment

découverte, qui s’appelle la bande striée

5.

Le prépuce aide dans l’insertion du pénis pendant le

coït, sert à garder le

gland humide et permet une motion glissante qui améliore le plaisir

sexuel pour l’homme

L’

urètre (urethra), qui constitue la dernière partie du tractus urinaire,

traverse le corps spongieux ; sa sortie, le méat urétral (

meatus urethralis),

se trouve au bout du gland. L’urètre sert également à la miction et à

l’

éjaculation du liquide séminal. Ce liquide contient le sperme, qui se

prépare dans les testicules et est réservé dans l’

épididyme (epididymis).

Lors de l’éjaculation, le sperme est propulsé par le

canal déférent (vas

deferens


), qui passe en haut de la vessie urinaire. Les vésicules séminales

(

vesicula seminalis) y ajoutent des fluides, et le canal déférent rejoint

l’urètre dans la

prostate (prostata). La prostate et les glandes de Cowper

(

glandulae bulbo-urethrales) y ajoutent d’autres fluides, et le liquide est

expulsé via le pénis.

Chez l’

homme, l’éjaculation accompagne la plupart du temps l’orgasme.

Le pénis est homologue au

clitoris femelle, puisque les deux se

développent à partir de la même structure

embryonnaire. Le pénis comme

le clitoris est capable d’

érection lors de stimulation sexuelle, ce qui

permet le

coït.

L’anatomie du pénis

humain se distingue de celle du pénis de la plupart

des autres mammifères par l’absence de

baculum, un os qui sert à ériger

le pénis avant l’acte de

copulation. Les corps caverneux du pénis humain

se gorgent de

sang pour atteindre l’érection. L’homme ne peut donc pas

rétracter son pénis dans son corps. Le pénis humain est un peu plus

important, relativement à la masse corporelle, que celui des autres

mammifères

L’

érection est un phénomène physiologique dans lequel le pénis devient

ferme et élargi. L’érection pénienne est le résultat d’une interaction

complexe de facteurs endocrines, psychologiques, neurologiques et

vasculaires, et est habituellement, mais pas exclusivement, associée à

l’

excitation sexuelle ou l’attirance sexuelle.

L’érection pénienne survient lorsque deux structures tubulaires qui

parcourent la longueur du pénis, les

corps caverneux, deviennent

engorgés par le

sang. Cela peut être le résultat de nombreux stimuli

physiologiques


, connus sous le terme de stimuli sexuels ou excitation

sexuelle


. Le corps spongieux est une seule structure tubulaire localisée

juste en dessous des corps caverneux, ce qui contient l’

urètre, à travers

lequel l’

urine et le sperme passent durant la miction et l’éjaculation,

respectivement. Il devient également légèrement engorgé de sang, mais

moins que le corps caverneux.


Activité sexuelle



Le gonflement, le durcissement et l’élargissement du pénis permettent le


rapport sexuel


. Le scrotum peut, mais pas exclusivement, se serrer lors

d’une érection. Dans pratiquement tous les cas, le

prépuce se rétracte

automatiquement et petit-à-petit, exposant le

gland, mais certains

individus doivent rétracter manuellement leur prépuce.

Après éjaculation lors d’un rapport sexuel ou d’une

masturbation,

l’érection se termine habituellement, mais cela peut prendre du temps aux

dépens de la longueur et de l’épaisseur du pénis

1.

La stimulation sexuelle cause la libération de

monoxyde d’azote qui est

un des principaux médiateurs à l’origine d’une érection. Cette libération

est localisée et démarre à partir des cellules endothéliales des

corps

caverneux


d’une part et des neurones non adrénergiques et non

cholinergiques d’autre part. Sous contrôle de récepteurs spécifiques, les

récepteurs P2y, et à l’intérieur du muscle, ce monoxyde d’azote active la


guanylate cyclase


, ce qui a pour conséquence d’entraîner une

transformation de la

guanosine triphosphate en guanosine

monophosphate cyclique


(GMPc). L’accumulation de GMPc mène, entre

autres, à une relaxation de la musculature lisse des artères péniennes et

du tissu intra-caverneux, ainsi qu’à l’engorgement du pénis et,

in fine, à

l’érection.

2) le vagin

Le

vagin est l’une des parties de l’appareil génital féminin. Il s’ouvre au

niveau de la

vulve et des petites lèvres. A l'arrière, dans la zone appelée

vestibule, débouchent l'orifice de l'urètre (par où passe l'

urine) et l'orifice

du vagin. Celui-ci est, en cas de virginité, protégé par l'

hymen, une

membrane de forme et d'épaisseur variables attachée au bord de l'entrée

du vagin.

De forme généralement semi-lunaire, mais pouvant aussi parfois fermer

complètement l'orifice vaginal, l’hymen a une épaisseur généralement

inférieure au millimètre. Cette membrane se déchire lors du premier

rapport

sexuel, et persiste sous forme de lambeaux. Du fait de sa

vascularisation, la

défloration s'accompagne souvent d'un petit

saignement


.

Vient ensuite le vagin à proprement parlé. D’une profondeur de 8 cm

environ, il communique avec l’

utérus par le col de l’utérus. Plus étroit

vers la vulve, il s’élargit vers le fond. L’intérieur est tapissé d’une

muqueuse riche en vaisseaux sanguins. Aplati d'avant en arrière, ses deux

parois se touchent lorsqu'il est vide.

Ces parois sont très élastiques, ce qui permet au

sexe de l'homme,

quelque soit sa dimension, de pouvoir y pénétrer. Son élasticité est

importante lors de l'

accouchement, permettant le passage du bébé.

Rapports sexuels

Lors des rapports sexuels, l'homme glisse son

pénis dans le vagin, lieu de

passage pour les

spermatozoïdes, mais aussi un des lieux source de

plaisir chez la femme.

Sous l’effet de l’excitation, le vagin se gonfle et produit des sécrétions

vaginales qui facilitent la

pénétration. Lorsque l'orgasme est imminent, le

vagin diminue un peu de volume. Lors de l'orgasme, l'utérus, le vagin et

les muscles du bassin subissent une série de contractions musculaires,

involontaires et rythmées. Même lorsqu’il est clitoridien, le vagin

participe lui aussi à l’orgasme. L’orgasme purement vaginal est quant à

lui plus rare, mais ressenti comme beaucoup plus profond que l’

orgasme

clitoridien


.

On ne peut parler du vagin et des rapports sexuels sans aborder le fameux


point G


, cette zone érogène dont la stimulation est censée déclencher un

très fort orgasme. Le point G est situé dans le vagin, à environ 6 cm audessus

de la vulve, vers l’avant. Certaines positions permettent une plus

grande pression du sexe de l’homme contre le point G (femme à

califourchon sur l’homme, penchée en arrière ; femme sur le dos, les

jambes relevées contre le torse de son partenaire

3) la vulve

La

vulve (du latin volva, puis de vulva, « utérus ») est l'ensemble des

organes génitaux externes de la femme


,constitué principalement des

grandes


et des petites lèvres enserrant l'entrée du vagin, du clitoris et du

méat urinaire1


.

La vulve comporte de nombreuses structures anatomiques majeures et

mineures, dont l'entrée du

vagin, organe génital interne. Son

développement se fait en plusieurs phases : les périodes foetale et

pubertaire en sont les plus importantes. Véritable porte de la

matrice

humaine, elle en protège l'ouverture par une « double porte » : les

grandes puis les petites lèvres sans oublier le vestibule vulvaire, et une

flore microbienne normale qui s'écoule de l'intérieur vers l'extérieur.

Cependant, une hygiène régulière permet une bonne

santé vulvovaginale,

la vulve étant plus sensible aux maladies qu'un

pénis.

L'ensemble de ces organes externes ont aussi une fonction sexuelle liée

au

plaisir : ils sont richement innervés et participent à l'acte sexuel

lorsqu'ils sont sollicités adéquatement. P

laisir sexuel procuré.

4) le plaisir sexuel

L'excitation sexuelle commence par la

lubrification vulvo-vaginale qui

agit autant à l'intérieur qu'à l'extérieur du

vagin : la cyprine s'écoule des

glandes de Bartholin


pour lubrifier les petites lèvres. À l'intérieur du

vagin, une vasocongestion (le sang qui s'accumule) se forme dans les

parois vaginales et provoque de l'humidité qui suinte le long des parois.

Cette humidité finit par s'amasser en fines gouttelettes qui perlent alors

dans un flux qui sort du vagin pour humidifier la vulve. Les

grandes

lèvres


s'aplatissent et s'écartent l'une de l'autre, le clitoris et les petites

lèvres augmentent en taille.

Contrairement aux hommes, chez qui l'excitation sexuelle produit des

variations manifestes et notamment une

érection, certaines femmes

peuvent ne pas avoir conscience de la lubrification vaginale et de

l'engorgement du sang dans la vulve.


Phase en plateau[

modifier]

La vaso-congestion des tissus profonds dans le vagin provoque son

gonflement, ce qui fait diminuer de taille l'orifice vaginal d'environ 30 %.

L'érection du clitoris est de plus en plus forte, et son gland se déplace

vers la

symphyse pubienne, restant dissimulé par le prépuce au début de

l'excitation mais en deuxième temps, apparaît et disparaît à travers le

capuchon en cas d'excitation continue

8.

Les petites lèvres augmentent considérablement, environ 2 à 3 fois en

volume : béantes, elles affichent l'ouverture vaginale. Tumescentes, elles

changent considérablement de teinte colorée, allant du

rose au rouge chez

les femmes qui n'ont pas eu la charge d'un enfant

(nullipares), ou au

rouge (très) vif (couleur vin) chez celles qui ont eu un ou plusieurs

enfant(s)

(primipares ou multipares).

Les grandes lèvres deviennent plus plates et participent à la contraction

musculaire pendant l'excitation et durant l'orgasme chez les femmes

nullipares. Chez les femmes

multipares qui développent un réseau

vasculaire plus étendu, les grandes lèvres peuvent augmenter dans ce cas

de 2 à 3 fois de volume sous l'effet de la vaso-congestion.

À ce stade, un

rapport vaginal peut se faire dans les meilleures

conditions.


L’orgasme[

modifier]

Article détaillé :

Orgasme.

Immédiatement avant l'orgasme, le clitoris devient exceptionnellement

engorgé, ce qui fait disparaître le gland sous le prépuce clitoridien

tumescent. La théorie veut que cela soit pour protéger le gland devenu

sensible au cours de l'orgasme. Cependant, quelques réserves sont émises

sur le fait que cela soit le cas, puisque dans la structure masculine

homologue, le

pénis, le même engorgement se produit avant l'orgasme,

dont la fonction est censée allonger le pénis aussi près que possible vers

le col de l'utérus avant l'éjaculation.

Des

contractions musculaires rythmiques et involontaires se produisent

dans le tiers externe du vagin, ainsi que dans l'utérus et autour de l'

anus.

Il s'en produit d'abord une environ toutes les 0,8 secondes, puis elles

deviennent moins intenses et plus espacées aléatoirement tant que

l'orgasme continue. En fonction de son intensité, un orgasme peut avoir

aussi peu qu'une contraction ou avoir plus de quinze contractions (dit

aussi « orgasmes répétés »). Il peut aussi être accompagné chez 40 % des

femmes d'une

éjaculation féminine, dont la composition exacte n'est pas

encore connue (parfois jusqu'à 100 ml).

Immédiatement après l'orgasme, le clitoris peut être tellement sensible

que toute stimulation en est inconfortable.


Phase de résolution[

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La période réfractaire se caractérise par une intumescence des vaisseaux

sanguins au niveau des structures externes et internes : l'afflux de sang

commence à se dissiper, bien qu'à un rythme beaucoup plus lent si

l'orgasme n'a pas eu lieu.

Les organes génitaux se replient dans leur emplacement initial : le clitoris

se rétracte sous son prépuce ; le vagin et l'ouverture vaginale retournent à

leur état normal et détendu. Le reste de la vulve, grandes et petites lèvres

reviennent en position, couleur et taille normale.

5) Faire l’amour

Le

coït en lui-même se caractérise par des mouvements du pénis dans le

vagin qui stimulent réciproquement le

pénis de l'homme et le vagin, les

petites lèvres


et le clitoris de la femme. Outre cette stimulation physique,

le prolongement des actes de types préliminaires (

cf. infra) ouvre sur un

plaisir qui dépendra également de nombreux autres facteurs

environnementaux. Si l'on peut souligner parfois l'idée d'habileté des

partenaires, ce facteur n'est pas plus déterminant que certaines conditions

psychologiques.

6) Le clitoris


Un capuchon :


Le clitoris est protégé par un repli de peau formé à

l’avant des petites lèvres. Il correspond au prépuce du pénis masculin.

C’est pour cela que certaines contrées où l’on pratique l’ablation du

capuchon parlent de " circoncision féminine ". (mais l’excision est en

réalité le plus souvent beaucoup plus mutilante que la simple ablation du

capuchon).

Un gland : Tout au bout du clitoris, c’est sa partie visible, qui

sort à l’air. Elle est formée de muqueuse et non de peau, et elle est donc

de couleur rose et extrêmement sensible. Il ne mesure qu’entre 0,5 et 1

cm.

Une tige ou racine : Elle est la partie qui suit le gland. Mais si le

gland est visible, la tige du clitoris, elle est enfouie et ne se voit pas. peut

mesurer jusqu’à 10 cm de long, et de 3 à 6 cm de large. Elle se scinde en

deux longues racines qui vont entourer les bords latéraux du vagin.

Il est écrit : Je te loue de ce que je suis une créature si merveilleuse. Tes

oeuvres sont admirables, Et mon âme le reconnaît bien.

Nous savons que la sexualité a aussi été créée par Dieu, et comme la

description le montre, il y a parfaite complémentarité entre les organes

sexuels de l’homme et de la femme.

Voilà ce qui est vrai, naturel, sain, parfait.

Précisons aussi que les organes sexuels humains sont disposés de telle

manière que l’homme et la femme peuvent se faire face quand ils font

l’amour et il faut souligner que c’est comme une exception dans la

nature. Ceci prouve que l’homme n’est pas qu’un animal. Ceci est vrai.

Pour cette raison, et pour d’autres transcendentales, ad minima, le

mariage ne peut avoir lieu -oui!- qu’entre un homme et une femme.

Aucun pouvoir humain ne peut aller contre cela.

La monomarialité a ainsi été démontrée une fois pour toute.

L’ Esprit Saint a aussi des enseignements sur le bon et vrai usage de la

sexualité, et c’est ce qu’il inspire dans ce texte à un évêque, Anonyme, de

l’ Eglise de Dieu.

Dans le service de l’ Eglise de Dieu.