Lois bibliques et absolues sur le mariage
Principe universel et inéquivoque du mariage :
GE 2:24
'est pourquoi l'homme quittera son père et sa mère, et s'attachera
à sa femme, et ils deviendront une seule chair.
MT 19:5
qu'il dit: C'est pourquoi l'homme quittera son père et sa mère, et
s'attachera à sa femme, et les deux deviendront une seule chair.
MT 19:6
ils ne sont plus deux, mais ils sont une seule chair. Que l'homme
donc ne sépare pas ce que Dieu a joint.
MR 10:8
les deux deviendront une seule chair. Ainsi ils ne sont plus
deux, mais ils sont une seule chair.
1CO 6:16
de là! Ne savez-vous pas que celui qui s'attache à la prostituée
est un seul corps avec elle? Car, est-il dit, les deux deviendront une seule
chair.
EPH 5:31
'est pourquoi l'homme quittera son père et sa mère, et
s'attachera à sa femme, et les deux deviendront une seule chair.
Définition de l’homme et de la femme l’un envers l’autre, par rapport à
des passages bibliques :
L'Éternel Dieu dit: Il n'est pas bon que l'homme soit seul; je lui ferai une
opposée à lui (Gen 2 : 8) . Opposée pas contraire !
Le roi m'introduit dans ses appartements (=je suis pénétrée, dit la femme)
C'est la voix de mon bien-aimé! Le voici, il vient, sautant sur les
montagnes, bondissant sur les collines. (= je suis sautée par mon homme,
dit la femme, les collines ici figurant ses seins de femme)
Il regarde par la fenêtre, il regarde par le treillis. (= il regarde ma vulve,
dit la femme, « fenêtre » et « treillis » représente l’un et l’autre les
organes sexuels féminins)
Chacun porte l'épée sur sa hanche, en vue des alarmes nocturnes. (= il
bande, dit la femme, « épée » est ici une métaphore de la verge en
érection, et « alarmes nocturnes » veut dire : avoir envie de baiser…)
Tes lèvres sont comme un fil cramoisi (= les lèvres ici sont celles de la
vulve bien sûr !)
Tes deux seins sont comme deux faons, comme les jumeaux d'une
gazelle, qui paissent au milieu des lis. (= tes seins m’excitent, dit
l’homme à la femme)
Tes lèvres distillent le miel, ma fiancée; il y a sous ta langue du miel et
du lait (= comme je suis en train de te lécher la chatte, pense l’homme -
car il ne peut ainsi faisant parler- tu as, ma femme, un goût de plaisir !
« Langue » ici est l’intérieur de son vagin)
Tu es un jardin fermé, ma soeur, ma fiancée, une source fermée, une
fontaine scellée. Tes jets forment un jardin, où sont des grenadiers, avec
les fruits les plus excellents, les troënes avec le nard; le nard et le safran,
le roseau aromatique et le cinnamome, (= « jardin fermé », « source
fermée », « fontaine scellée » évoquent tous les trois la vulve et le vagin.
« jets », ainsi que « source » et « fontaine » indiquent qu’elle mouille de
plaisir. Les parfums évoqués cherchent à figurer l’odeur des organes
sexuels féminins de la femme qui jouit !!)
Avec tous les arbres qui donnent l'encens; la myrrhe et l'aloès, avec tous
les principaux aromates;
Une fontaine des jardins, une source d'eaux vives, des ruisseaux du
Liban. (= Complétude des odeurs précédentes, et continuité : le plaisir de
la femme est si intense qu’elle devient comme une « fontaine »)
Que mon bien-aimé entre dans son jardin, et qu'il mange de ses fruits
excellents! -
J'entre dans mon jardin, ma soeur, ma fiancée; (= Pénètre-moi, dis la
femme. L’homme la pénètre)
Mon bien-aimé a passé la main par la fenêtre, et mes entrailles se sont
émues pour lui. (= Il m’a pénétrée, et j’ai commencé à jouir, dit la
femme)
Je me suis levée pour ouvrir à mon bien-aimé; et de mes mains a
dégoutté la myrrhe, de mes doigts, la myrrhe répandue sur la poignée du
verrou. (= J’ai écarté mes cuisses, dit la femme, et après qu’il ait éjaculé
dans mon vagin, j’ai eu de son sperme sur les mains. cqfd)
Je ne sais, mais mon désir m'a rendue semblable aux chars de mon noble
peuple. (= orgasme)
Ton sein est une coupe arrondie (= ton vagin)
Tes deux seins sont comme deux faons, comme les jumeaux d'une gazelle
(= tes seins me plaisent)
Que tu es belle, que tu es agréable, ô mon amour, au milieu des délices!
Ta taille ressemble au palmier, et tes seins à des grappes. Je me dis: Je
monterai sur le palmier, j'en saisirai les rameaux! Que tes seins soient
comme les grappes de la vigne, ( = j’adore faire l’amour avec toi)
et ta bouche comme un vin excellent,... (= j’aime tes baisers)
Et mes seins sont comme des tours; j'ai été à ses yeux comme celle qui
trouve la paix (= sensation de bien-être après avoir fait l’amour)
'il me baise des baisers de sa bouche! Car ton amour vaut mieux que le
vin, (= la femme apprécie que l’homme l’embrasse et même la baise)
lèvres sont comme un fil cramoisi, et ta bouche est charmante; ta joue est
comme une moitié de grenade, Derrière ton voile. (= l’homme aime
embrasser et baiser sa femme!)
Et ta bouche comme un vin excellent,... -qui coule aisément pour mon
bien-aimé, Et glisse sur les lèvres de ceux qui s'endorment (= l’homme et
la femme aiment s’embrasser l’un l’autre et faire l’amour ensemble l’un
avec l’autre)
Passages du Cantique sur l’amour :
ton AMOUR vaut mieux que le vin, (= mieux vaut l’amour que l’ivresse)
Nous célébrerons ton AMOUR plus que le vin. C'est avec raison que l'on
t'aime. (= mieux vau l’amour que le plaisir des sens)
la bannière qu'il déploie sur moi, c'est l'AMOUR (= l’amour aide à l’acte
sexuel)
je suis malade d'AMOUR. (= je t’aime vraiment)
Filles [de Jérusalem], par les gazelles et les biches des champs, ne
réveillez pas, ne réveillez pas l'AMOUR, avant qu'elle le veuille. -(=
l’amour vaut mieux que le sommeil)
Filles [de Jérusalem,] par les gazelles et les biches des champs, ne
réveillez pas, ne réveillez pas l'AMOUR, avant qu'elle le veuille. -(=
l’amour vaut mieux que l’éveil)
Au milieu est une broderie, oeuvre d'AMOUR des filles [de Jérusalem.]
(= l’amour est action)
Que de charmes dans ton AMOUR, ma soeur, ma fiancée! Comme ton
AMOUR vaut mieux que le vin, (= la femme qui aime mérite de vivre)
-Mangez, amis [amoureux], buvez, enivrez-vous d'AMOUR! - (= vive
l’amour)
je suis malade d'AMOUR (= tu es aimé/e)
Que tu es belle, que tu es agréable, ô mon AMOUR, au milieu des
délices! (= vive la sexualité avec de l’amour!)
Dès le matin nous irons aux vignes, nous verrons si la vigne pousse, si la
fleur s'ouvre, si les grenadiers fleurissent. Là je te donnerai mon
AMOUR. (= l’amour est don)
filles de [Jérusalem], ne réveillez pas, ne réveillez pas l'AMOUR, avant
qu'elle le veuille. -(= l’amour a son heure)
Mets-moi comme un sceau sur ton coeur, comme un sceau sur ton bras;
car l'AMOUR est fort comme la mort, la jalousie est inflexible comme le
séjour des morts; ses ardeurs sont des ardeurs de feu, une flamme de
l'Éternel. (= l’amour est très puissant car « Dieu est amour ».Amen)
Les grandes eaux ne peuvent éteindre l'AMOUR, et les fleuves ne le
submergeraient pas; quand un homme offrirait tous les biens de sa
maison contre l'AMOUR, il ne s'attirerait que le mépris. (l’amour est
éternel. Amen)
En un mot : l’amour sublime la sexualité entre, exclusivement, un homme
et une femme
Autres lois divines sur le mariage :
Que le mariage soit honoré de tous, et le lit conjugal exempt de souillure,
car Dieu jugera les impudiques et les adultères.
Lorsqu'un homme sera nouvellement marié, il n'ira point à l'armée, et on
ne lui imposera aucune charge; il sera exempté par raison de famille
pendant un an, et il réjouira la femme qu'il a prise
Rappel : Si un homme rencontre une jeune fille vierge non fiancée, lui
fait violence et couche avec elle, et qu'on vienne à les surprendre,
l'homme qui aura couché avec elle donnera au père de la jeune fille
cinquante sicles d'argent; et, parce qu'il l'a déshonorée, il la prendra pour
femme, et il ne pourra pas la renvoyer, tant qu'il vivra
Nous savons qu’un homme et une femme mariés doivent avoir des
relations sexuelles ensemble afin que leur mariage ait un sens minimum.
A eux de trouver le temps de faire l’amour.
Complémentarité des organes sexuels.
1) la verge ou pénis
Le pénis humain se constitue de trois couches de
tissu :
·
les deux corps caverneux (corpora cavernosa penis), et
·
le corps spongieux (corpus spongiosum penis) sous eux.
Le bout distal du corps spongieux élargi et côniforme constitue le
gland
du pénis
(glans penis). Le gland est entouré par le prépuce (preputium),
un pli de
peau qui peut se retirer pour découvrir le gland. Le prépuce
s’attache au-dessous du gland par une bande de peau, le
frein. La portion
intérieure du prépuce inclut une zone hautement innervée, récemment
découverte, qui s’appelle la bande striée
5.
Le prépuce aide dans l’insertion du pénis pendant le
coït, sert à garder le
gland humide et permet une motion glissante qui améliore le plaisir
sexuel pour l’homme
L’
urètre (urethra), qui constitue la dernière partie du tractus urinaire,
traverse le corps spongieux ; sa sortie, le méat urétral (
meatus urethralis),
se trouve au bout du gland. L’urètre sert également à la miction et à
l’
éjaculation du liquide séminal. Ce liquide contient le sperme, qui se
prépare dans les testicules et est réservé dans l’
épididyme (epididymis).
Lors de l’éjaculation, le sperme est propulsé par le
canal déférent (vas
deferens
), qui passe en haut de la vessie urinaire. Les vésicules séminales
(
vesicula seminalis) y ajoutent des fluides, et le canal déférent rejoint
l’urètre dans la
prostate (prostata). La prostate et les glandes de Cowper
(
glandulae bulbo-urethrales) y ajoutent d’autres fluides, et le liquide est
expulsé via le pénis.
Chez l’
homme, l’éjaculation accompagne la plupart du temps l’orgasme.
Le pénis est homologue au
clitoris femelle, puisque les deux se
développent à partir de la même structure
embryonnaire. Le pénis comme
le clitoris est capable d’
érection lors de stimulation sexuelle, ce qui
permet le
coït.
L’anatomie du pénis
humain se distingue de celle du pénis de la plupart
des autres mammifères par l’absence de
baculum, un os qui sert à ériger
le pénis avant l’acte de
copulation. Les corps caverneux du pénis humain
se gorgent de
sang pour atteindre l’érection. L’homme ne peut donc pas
rétracter son pénis dans son corps. Le pénis humain est un peu plus
important, relativement à la masse corporelle, que celui des autres
mammifères
L’
érection est un phénomène physiologique dans lequel le pénis devient
ferme et élargi. L’érection pénienne est le résultat d’une interaction
complexe de facteurs endocrines, psychologiques, neurologiques et
vasculaires, et est habituellement, mais pas exclusivement, associée à
l’
excitation sexuelle ou l’attirance sexuelle.
L’érection pénienne survient lorsque deux structures tubulaires qui
parcourent la longueur du pénis, les
corps caverneux, deviennent
engorgés par le
sang. Cela peut être le résultat de nombreux stimuli
physiologiques
, connus sous le terme de stimuli sexuels ou excitation
sexuelle
. Le corps spongieux est une seule structure tubulaire localisée
juste en dessous des corps caverneux, ce qui contient l’
urètre, à travers
lequel l’
urine et le sperme passent durant la miction et l’éjaculation,
respectivement. Il devient également légèrement engorgé de sang, mais
moins que le corps caverneux.
Activité sexuelle
Le gonflement, le durcissement et l’élargissement du pénis permettent le
rapport sexuel
. Le scrotum peut, mais pas exclusivement, se serrer lors
d’une érection. Dans pratiquement tous les cas, le
prépuce se rétracte
automatiquement et petit-à-petit, exposant le
gland, mais certains
individus doivent rétracter manuellement leur prépuce.
Après éjaculation lors d’un rapport sexuel ou d’une
masturbation,
l’érection se termine habituellement, mais cela peut prendre du temps aux
dépens de la longueur et de l’épaisseur du pénis
1.
La stimulation sexuelle cause la libération de
monoxyde d’azote qui est
un des principaux médiateurs à l’origine d’une érection. Cette libération
est localisée et démarre à partir des cellules endothéliales des
corps
caverneux
d’une part et des neurones non adrénergiques et non
cholinergiques d’autre part. Sous contrôle de récepteurs spécifiques, les
récepteurs P2y, et à l’intérieur du muscle, ce monoxyde d’azote active la
guanylate cyclase
, ce qui a pour conséquence d’entraîner une
transformation de la
guanosine triphosphate en guanosine
monophosphate cyclique
(GMPc). L’accumulation de GMPc mène, entre
autres, à une relaxation de la musculature lisse des artères péniennes et
du tissu intra-caverneux, ainsi qu’à l’engorgement du pénis et,
in fine, à
l’érection.
2) le vagin
Le
vagin est l’une des parties de l’appareil génital féminin. Il s’ouvre au
niveau de la
vulve et des petites lèvres. A l'arrière, dans la zone appelée
vestibule, débouchent l'orifice de l'urètre (par où passe l'
urine) et l'orifice
du vagin. Celui-ci est, en cas de virginité, protégé par l'
hymen, une
membrane de forme et d'épaisseur variables attachée au bord de l'entrée
du vagin.
De forme généralement semi-lunaire, mais pouvant aussi parfois fermer
complètement l'orifice vaginal, l’hymen a une épaisseur généralement
inférieure au millimètre. Cette membrane se déchire lors du premier
rapport
sexuel, et persiste sous forme de lambeaux. Du fait de sa
vascularisation, la
défloration s'accompagne souvent d'un petit
saignement
.
Vient ensuite le vagin à proprement parlé. D’une profondeur de 8 cm
environ, il communique avec l’
utérus par le col de l’utérus. Plus étroit
vers la vulve, il s’élargit vers le fond. L’intérieur est tapissé d’une
muqueuse riche en vaisseaux sanguins. Aplati d'avant en arrière, ses deux
parois se touchent lorsqu'il est vide.
Ces parois sont très élastiques, ce qui permet au
sexe de l'homme,
quelque soit sa dimension, de pouvoir y pénétrer. Son élasticité est
importante lors de l'
accouchement, permettant le passage du bébé.
Rapports sexuels
Lors des rapports sexuels, l'homme glisse son
pénis dans le vagin, lieu de
passage pour les
spermatozoïdes, mais aussi un des lieux source de
plaisir chez la femme.
Sous l’effet de l’excitation, le vagin se gonfle et produit des sécrétions
vaginales qui facilitent la
pénétration. Lorsque l'orgasme est imminent, le
vagin diminue un peu de volume. Lors de l'orgasme, l'utérus, le vagin et
les muscles du bassin subissent une série de contractions musculaires,
involontaires et rythmées. Même lorsqu’il est clitoridien, le vagin
participe lui aussi à l’orgasme. L’orgasme purement vaginal est quant à
lui plus rare, mais ressenti comme beaucoup plus profond que l’
orgasme
clitoridien
.
On ne peut parler du vagin et des rapports sexuels sans aborder le fameux
point G
, cette zone érogène dont la stimulation est censée déclencher un
très fort orgasme. Le point G est situé dans le vagin, à environ 6 cm audessus
de la vulve, vers l’avant. Certaines positions permettent une plus
grande pression du sexe de l’homme contre le point G (femme à
califourchon sur l’homme, penchée en arrière ; femme sur le dos, les
jambes relevées contre le torse de son partenaire
3) la vulve
La
vulve (du latin volva, puis de vulva, « utérus ») est l'ensemble des
organes génitaux externes de la femme
,constitué principalement des
grandes
et des petites lèvres enserrant l'entrée du vagin, du clitoris et du
méat urinaire1
.
La vulve comporte de nombreuses structures anatomiques majeures et
mineures, dont l'entrée du
vagin, organe génital interne. Son
développement se fait en plusieurs phases : les périodes foetale et
pubertaire en sont les plus importantes. Véritable porte de la
matrice
humaine, elle en protège l'ouverture par une « double porte » : les
grandes puis les petites lèvres sans oublier le vestibule vulvaire, et une
flore microbienne normale qui s'écoule de l'intérieur vers l'extérieur.
Cependant, une hygiène régulière permet une bonne
santé vulvovaginale,
la vulve étant plus sensible aux maladies qu'un
pénis.
L'ensemble de ces organes externes ont aussi une fonction sexuelle liée
au
plaisir : ils sont richement innervés et participent à l'acte sexuel
lorsqu'ils sont sollicités adéquatement. P
laisir sexuel procuré.
4) le plaisir sexuel
L'excitation sexuelle commence par la
lubrification vulvo-vaginale qui
agit autant à l'intérieur qu'à l'extérieur du
vagin : la cyprine s'écoule des
glandes de Bartholin
pour lubrifier les petites lèvres. À l'intérieur du
vagin, une vasocongestion (le sang qui s'accumule) se forme dans les
parois vaginales et provoque de l'humidité qui suinte le long des parois.
Cette humidité finit par s'amasser en fines gouttelettes qui perlent alors
dans un flux qui sort du vagin pour humidifier la vulve. Les
grandes
lèvres
s'aplatissent et s'écartent l'une de l'autre, le clitoris et les petites
lèvres augmentent en taille.
Contrairement aux hommes, chez qui l'excitation sexuelle produit des
variations manifestes et notamment une
érection, certaines femmes
peuvent ne pas avoir conscience de la lubrification vaginale et de
l'engorgement du sang dans la vulve.
Phase en plateau[
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La vaso-congestion des tissus profonds dans le vagin provoque son
gonflement, ce qui fait diminuer de taille l'orifice vaginal d'environ 30 %.
L'érection du clitoris est de plus en plus forte, et son gland se déplace
vers la
symphyse pubienne, restant dissimulé par le prépuce au début de
l'excitation mais en deuxième temps, apparaît et disparaît à travers le
capuchon en cas d'excitation continue
8.
Les petites lèvres augmentent considérablement, environ 2 à 3 fois en
volume : béantes, elles affichent l'ouverture vaginale. Tumescentes, elles
changent considérablement de teinte colorée, allant du
rose au rouge chez
les femmes qui n'ont pas eu la charge d'un enfant
(nullipares), ou au
rouge (très) vif (couleur vin) chez celles qui ont eu un ou plusieurs
enfant(s)
(primipares ou multipares).
Les grandes lèvres deviennent plus plates et participent à la contraction
musculaire pendant l'excitation et durant l'orgasme chez les femmes
nullipares. Chez les femmes
multipares qui développent un réseau
vasculaire plus étendu, les grandes lèvres peuvent augmenter dans ce cas
de 2 à 3 fois de volume sous l'effet de la vaso-congestion.
À ce stade, un
rapport vaginal peut se faire dans les meilleures
conditions.
L’orgasme[
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Article détaillé :
Orgasme.
Immédiatement avant l'orgasme, le clitoris devient exceptionnellement
engorgé, ce qui fait disparaître le gland sous le prépuce clitoridien
tumescent. La théorie veut que cela soit pour protéger le gland devenu
sensible au cours de l'orgasme. Cependant, quelques réserves sont émises
sur le fait que cela soit le cas, puisque dans la structure masculine
homologue, le
pénis, le même engorgement se produit avant l'orgasme,
dont la fonction est censée allonger le pénis aussi près que possible vers
le col de l'utérus avant l'éjaculation.
Des
contractions musculaires rythmiques et involontaires se produisent
dans le tiers externe du vagin, ainsi que dans l'utérus et autour de l'
anus.
Il s'en produit d'abord une environ toutes les 0,8 secondes, puis elles
deviennent moins intenses et plus espacées aléatoirement tant que
l'orgasme continue. En fonction de son intensité, un orgasme peut avoir
aussi peu qu'une contraction ou avoir plus de quinze contractions (dit
aussi « orgasmes répétés »). Il peut aussi être accompagné chez 40 % des
femmes d'une
éjaculation féminine, dont la composition exacte n'est pas
encore connue (parfois jusqu'à 100 ml).
Immédiatement après l'orgasme, le clitoris peut être tellement sensible
que toute stimulation en est inconfortable.
Phase de résolution[
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La période réfractaire se caractérise par une intumescence des vaisseaux
sanguins au niveau des structures externes et internes : l'afflux de sang
commence à se dissiper, bien qu'à un rythme beaucoup plus lent si
l'orgasme n'a pas eu lieu.
Les organes génitaux se replient dans leur emplacement initial : le clitoris
se rétracte sous son prépuce ; le vagin et l'ouverture vaginale retournent à
leur état normal et détendu. Le reste de la vulve, grandes et petites lèvres
reviennent en position, couleur et taille normale.
5) Faire l’amour
Le
coït en lui-même se caractérise par des mouvements du pénis dans le
vagin qui stimulent réciproquement le
pénis de l'homme et le vagin, les
petites lèvres
et le clitoris de la femme. Outre cette stimulation physique,
le prolongement des actes de types préliminaires (
cf. infra) ouvre sur un
plaisir qui dépendra également de nombreux autres facteurs
environnementaux. Si l'on peut souligner parfois l'idée d'habileté des
partenaires, ce facteur n'est pas plus déterminant que certaines conditions
psychologiques.
6) Le clitoris
Un capuchon :
Le clitoris est protégé par un repli de peau formé à
l’avant des petites lèvres. Il correspond au prépuce du pénis masculin.
C’est pour cela que certaines contrées où l’on pratique l’ablation du
capuchon parlent de " circoncision féminine ". (mais l’excision est en
réalité le plus souvent beaucoup plus mutilante que la simple ablation du
capuchon).
Un gland : Tout au bout du clitoris, c’est sa partie visible, qui
sort à l’air. Elle est formée de muqueuse et non de peau, et elle est donc
de couleur rose et extrêmement sensible. Il ne mesure qu’entre 0,5 et 1
cm.
Une tige ou racine : Elle est la partie qui suit le gland. Mais si le
gland est visible, la tige du clitoris, elle est enfouie et ne se voit pas. peut
mesurer jusqu’à 10 cm de long, et de 3 à 6 cm de large. Elle se scinde en
deux longues racines qui vont entourer les bords latéraux du vagin.
Il est écrit : Je te loue de ce que je suis une créature si merveilleuse. Tes
oeuvres sont admirables, Et mon âme le reconnaît bien.
Nous savons que la sexualité a aussi été créée par Dieu, et comme la
description le montre, il y a parfaite complémentarité entre les organes
sexuels de l’homme et de la femme.
Voilà ce qui est vrai, naturel, sain, parfait.
Précisons aussi que les organes sexuels humains sont disposés de telle
manière que l’homme et la femme peuvent se faire face quand ils font
l’amour et il faut souligner que c’est comme une exception dans la
nature. Ceci prouve que l’homme n’est pas qu’un animal. Ceci est vrai.
Pour cette raison, et pour d’autres transcendentales, ad minima, le
mariage ne peut avoir lieu -oui!- qu’entre un homme et une femme.
Aucun pouvoir humain ne peut aller contre cela.
La monomarialité a ainsi été démontrée une fois pour toute.
L’ Esprit Saint a aussi des enseignements sur le bon et vrai usage de la
sexualité, et c’est ce qu’il inspire dans ce texte à un évêque, Anonyme, de
l’ Eglise de Dieu.
Dans le service de l’ Eglise de Dieu.
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